Le 5 février était la date limite pour la remise des notes du premier bulletin pour bien des écoles. Pourquoi ne pas ne pas saisir cette occasion pour également évaluer notre ministre de l’Éducation?
Des mesures sanitaires insuffisantes
Même s’il n’en est pas le premier responsable, M. Roberge a accepté l’implantation de mesures sanitaires qui ont fait que les écoles québécoises, toute proportions gardées, ont connu trois fois plus d’éclosions que celles de l’Ontario. Ce dernier se garde bien de souligner une si triste réalité. Pour certains employés scolaires et parents, le ministre a été peu soucieux de la santé des gens dont il a la responsabilité. Si ce sont des risques que le premier ministre a dit lui-même assumer, la chose est d’aut