Si l’on voulait être exact toutefois, on le nommerait plutôt « le quatrième lien » puisqu’une infrastructure existe déjà à l’est des ponts : il s’agit de la traverse Québec-Lévis .
Alors qu’on tarde à équilibrer les investissements entre les transports collectifs et le transport routier(1), l’énorme gaspillage de fonds publics que constitue le troisième lien se trouve pourtant toujours dans les plans du gouvernement du Québec.
Non seulement la priorité budgétaire devrait être accordée au transport collectif , mais rappelons surtout que ce ne sont pas seulement les tenants de la mobilité durable qui devraient s’inquiéter du projet de troisième lien.