Ce n’est pas moi qui le dis. Je ne fais que citer un des évêques de France.
Pouvait-on dire plus clairement que l’épiscopat français n’est pas majoritairement François-compatible, mais demeure attaché à un des points les plus discutés de l’ecclésiologie de Benoît XVI, tant comme pape que déjà comme préfet de la Doctrine de la foi ?
Que les décisions de l’assemblée des évêques ne soient pas contraignantes permet certes de tenir ensemble des gens aux vues contradictoires ; cela n’empêche ni les audaces pastorales, rares, ni les politiques communes de retour en arrière ("indietrismo" comme dit François), ni les fuites en avant qui n’ont plus rien d’évangéliques et transforment l’évangélisation en une campagne promotionnelle (Faut que ça marche et qu’on puisse exhiber les parts de marché !). Ce fonctionnement épiscopal, sous prétexte de g